BURNING
de Lee Chang-DongGENRE : DrameCorée du sud · 2018 · 2h28 · Vostf
Avec : Yoo Ah-In, Steven Yeun, Jeon Jong-seo
Lors d'une livraison, Jongsu, un jeune coursier, tombe par hasard sur Haemi, une jeune fille qui habitait auparavant son quartier. Elle lui demande de s’occuper de son chat pendant un voyage en Afrique. À son retour, Haemi lui présente Ben, un garçon mystérieux qu’elle a rencontré là-bas. Un jour, Ben leur révèle un bien étrange passe-temps…
Voilà sans doute le film le plus surprenant de la compétition cannoise. Parce qu’en perpétuelle mutation : comédie romantique puis thriller paranoïaque qui bascule dans la folie. Si bien qu’on se demande sans arrêt quelle direction prend ce récit protéiforme. [...] On est captivé dès que le doute s’installe : en effet, s’agit-il d’une vengeance d’Haemi, qui veut faire payer ses mauvais traitements passés à Jongsu ? Ou un dessein beaucoup plus sombre se dissimulerait-il derrière le couple qu’elle forme avec son nouvel amant? L’ambi- guïté plane dans cette fable toujours insolite, qui monte progressivement en puissance jusqu’au final ahurissant. Le réalisateur sud-coréen Lee Chang-dong (Poetry, Prix du Scénario au Festi- val de Cannes 2010), 64 ans, prouve qu’il n’a pas perdu la main et gratifie le spectateur de plans sublimes. » – Le JDD
de Lee Chang-DongGENRE : DrameCorée du sud · 2018 · 2h28 · Vostf
Avec : Yoo Ah-In, Steven Yeun, Jeon Jong-seo
Lors d'une livraison, Jongsu, un jeune coursier, tombe par hasard sur Haemi, une jeune fille qui habitait auparavant son quartier. Elle lui demande de s’occuper de son chat pendant un voyage en Afrique. À son retour, Haemi lui présente Ben, un garçon mystérieux qu’elle a rencontré là-bas. Un jour, Ben leur révèle un bien étrange passe-temps…
Voilà sans doute le film le plus surprenant de la compétition cannoise. Parce qu’en perpétuelle mutation : comédie romantique puis thriller paranoïaque qui bascule dans la folie. Si bien qu’on se demande sans arrêt quelle direction prend ce récit protéiforme. [...] On est captivé dès que le doute s’installe : en effet, s’agit-il d’une vengeance d’Haemi, qui veut faire payer ses mauvais traitements passés à Jongsu ? Ou un dessein beaucoup plus sombre se dissimulerait-il derrière le couple qu’elle forme avec son nouvel amant? L’ambi- guïté plane dans cette fable toujours insolite, qui monte progressivement en puissance jusqu’au final ahurissant. Le réalisateur sud-coréen Lee Chang-dong (Poetry, Prix du Scénario au Festi- val de Cannes 2010), 64 ans, prouve qu’il n’a pas perdu la main et gratifie le spectateur de plans sublimes. » – Le JDD