LE RUISSEAU, LE PRÉ VERT ET LE DOUX VISAGE
de Yousry NasrallahGENRE : Drame, comédieEgypte · 2017 · 1h51 · Vostf
Avec : Laila Eloui, Mena Shalaby, Bassem Samra
Yehia est chef cuisinier. Avec son fils Refaat, passionné de recettes et de saveurs, et son cadet Galal, coureur de jupons, ils préparent des banquets pour des cérémonies de fête. Lors d’un mariage paysan orchestré par Yehia et ses fils, au cours duquel se dévoileront des amours secrètes, un homme d'affaires de la région et sa riche épouse proposent de racheter leur commerce. Devant le refus de Yehia, la proposition tourne à la menace...
Un peuple qui ne sait pas jouir, aimer la beauté et baiser n’est pas un peuple ». Et Nasrallah d’ajouter : « Le film est un hymne au plaisir ». Et à l’amour en liberté. Les jeux de séduction, gagnent tous les personnages, embarquant le spectateur dans un labyrinthe de solidarités amoureuses. Les femmes y restent maîtresses de leur corps. Elles en jouent avec une sensualité et un humour tout « féministe ». De la pulpeuse danseuse du ventre à l’épouse frustrée libidineuse, le plaisir d’être au monde s’affirme plus fort que la mort. Une mort à l’affût, qui rôde à l’ombre du pouvoir corrompu. Dans un contexte politique sombre, l’auteur donne, avec toute l’humaine tendresse de sa caméra, le premier et le dernier mot à la joie de vivre. D’où le déluge de couleurs sursaturées, les paillettes, l’agitation permanente et quasi burlesque des personnages, le côté comédie musicale et l’ambiance Bollywood. Pour ainsi donner existence à son idée de Peuple. En quoi ce film est un geste politique corrosif. ⎥PROGRÈS TRAVÉ
Mercredi 25 janvier :
Jeudi 26 janvier :
Vendredi 27 janvier : 18h20
Samedi 28 janvier : 14h
Dimanche 29 janvier : 14h10
Lundi 30 janvier :
Mardi 31 janvier : 12h15
de Yousry NasrallahGENRE : Drame, comédieEgypte · 2017 · 1h51 · Vostf
Avec : Laila Eloui, Mena Shalaby, Bassem Samra
Yehia est chef cuisinier. Avec son fils Refaat, passionné de recettes et de saveurs, et son cadet Galal, coureur de jupons, ils préparent des banquets pour des cérémonies de fête. Lors d’un mariage paysan orchestré par Yehia et ses fils, au cours duquel se dévoileront des amours secrètes, un homme d'affaires de la région et sa riche épouse proposent de racheter leur commerce. Devant le refus de Yehia, la proposition tourne à la menace...
Un peuple qui ne sait pas jouir, aimer la beauté et baiser n’est pas un peuple ». Et Nasrallah d’ajouter : « Le film est un hymne au plaisir ». Et à l’amour en liberté. Les jeux de séduction, gagnent tous les personnages, embarquant le spectateur dans un labyrinthe de solidarités amoureuses. Les femmes y restent maîtresses de leur corps. Elles en jouent avec une sensualité et un humour tout « féministe ». De la pulpeuse danseuse du ventre à l’épouse frustrée libidineuse, le plaisir d’être au monde s’affirme plus fort que la mort. Une mort à l’affût, qui rôde à l’ombre du pouvoir corrompu. Dans un contexte politique sombre, l’auteur donne, avec toute l’humaine tendresse de sa caméra, le premier et le dernier mot à la joie de vivre. D’où le déluge de couleurs sursaturées, les paillettes, l’agitation permanente et quasi burlesque des personnages, le côté comédie musicale et l’ambiance Bollywood. Pour ainsi donner existence à son idée de Peuple. En quoi ce film est un geste politique corrosif. ⎥PROGRÈS TRAVÉ
Mercredi 25 janvier :
Jeudi 26 janvier :
Vendredi 27 janvier : 18h20
Samedi 28 janvier : 14h
Dimanche 29 janvier : 14h10
Lundi 30 janvier :
Mardi 31 janvier : 12h15