ARDENZA
de Daniela de FeliceGENRE : DocumentaireItalie · 2022 · 1h06 · Vostfr
Avec : Sans acteurs connus
Témoignage d'une émancipation sensuelle et d'un engagement politique, dans l'Italie des années 90. Une jeune femme se déplace, se cogne, souffre et jouit. Son récit est parsemé de rencontres et de moments éphémères et grisants. Elle raconte sa trajectoire incandescente à travers le désir et les corps. À l'arrière-plan, l'Italie s'apprête à porter au pouvoir Forza Italia et les affrontements entre gauche et extrême droite sont de plus en plus tendus.
Dans un style hors de toute morale, le film propose un point de vue féminin sur l’émancipation et trace le portrait d'une génération pleine d'espoirs et de désillusions. C'est une voix sauvage et libre, une féminité assumée et singulière que Ardenza, où tout brûle et se consume, nous donne à entendre. Dans l'univers visuel de ce documentaire où le grain de la pellicule est chargé de souvenirs, le dessin, « frère jumeau de l’écriture » s’invite : sous nos yeux la plume d’encre raie le papier et peu après l'aquarelle indisciplinée fait son chemin dans l'image. Faire flamber les pigments, faire naître des images ! La réalisatrice déploie l'énergie sensuelle d'un moment de vie qui vibre dans une émotion partagée.
de Daniela de FeliceGENRE : DocumentaireItalie · 2022 · 1h06 · Vostfr
Avec : Sans acteurs connus
Témoignage d'une émancipation sensuelle et d'un engagement politique, dans l'Italie des années 90. Une jeune femme se déplace, se cogne, souffre et jouit. Son récit est parsemé de rencontres et de moments éphémères et grisants. Elle raconte sa trajectoire incandescente à travers le désir et les corps. À l'arrière-plan, l'Italie s'apprête à porter au pouvoir Forza Italia et les affrontements entre gauche et extrême droite sont de plus en plus tendus.
Dans un style hors de toute morale, le film propose un point de vue féminin sur l’émancipation et trace le portrait d'une génération pleine d'espoirs et de désillusions. C'est une voix sauvage et libre, une féminité assumée et singulière que Ardenza, où tout brûle et se consume, nous donne à entendre. Dans l'univers visuel de ce documentaire où le grain de la pellicule est chargé de souvenirs, le dessin, « frère jumeau de l’écriture » s’invite : sous nos yeux la plume d’encre raie le papier et peu après l'aquarelle indisciplinée fait son chemin dans l'image. Faire flamber les pigments, faire naître des images ! La réalisatrice déploie l'énergie sensuelle d'un moment de vie qui vibre dans une émotion partagée.