Comme un avion

Comme un avion

Comme un avion

Réalisateur(s) : Bruno Podalydès
Acteur(s) : Avec Bruno Podalydès, Agnès Jaoui, Sandrine Kiberlain…
Genre(s) : Comme la caresse d'une pluie d'été
Origine : France
Durée :
Warning: A non-numeric value encountered in /homepages/14/d4298624573/htdocs/webeustache/wp-content/themes/eustache/functions/functions-flux-json.php on line 225

Warning: A non-numeric value encountered in /homepages/14/d4298624573/htdocs/webeustache/wp-content/themes/eustache/functions/functions-flux-json.php on line 226
0h1
Synopsis : Michel, la cinquantaine, est infographiste. Passionné par l’aéropostale, il se rêve en Jean Mermoz quand il prend son scooter. Et pourtant, lui même n’a jamais piloté d’avion… Un jour, IL tombe en arrêt devant des photos de kayak : on dirait le fuselage d’un avion. C’est le coup de foudre. En cachette de sa femme, il achète un kayak à monter soi même et tout le matériel qui va avec. Michel pagaie des heures sur son toit, rêvant de grandes traversées en solitaire…

3 ans après Adieu Berthe, Bruno Podalydès revient projeter avec douceur et espièglerie son univers poétique. Pour cela, il est à nouveau accompagné par une bande d’acteurs fidèles, son frère Denis Podalydès, Sandrine Kiberlain, Agnès Jaoui et surtout la rayonnante Vimala Pons. Déjà aperçue dans Vincent n’a pas d’écailles ou La fille du 14 juillet, elle va bien vite faire vibrer le cœur des spectateurs français avec son charme solaire… Pour les réticents à l’univers décalé que présentent parfois les frères Podalydès, ce film est l’un des plus drôles qu’ils aient fait, on rit tout au long de ces pérégrinations fluviales d’un aviateur rêvé devenu kayakiste (un Bruno Podalydès très porté sur « le matos »). Mais c’est surtout la quiétude du mouvement fluide de l’embarcation, du récit et de la caméra qui nous berce. On se laisse glisser dans cette histoire, tendre et cocasse, au rythme d’une bande-son qui accueille Bashung, Moustaki ou Couture. Difficile de ne pas désirer rejoindre cette troupe de gais lurons et leur guinguette atypique, il faut dire qu’il y a bien longtemps que nous n’avions pas ressenti une telle quiétude en
sortant de la salle… | VICTOR COURGEON

Partager