Éva en août
de Jonás TruebaGENRE : ComédieEspagne · 2020 · 2h09 · VOstf
Avec : Itsaso Arana, Vito Sanz, Isabelle Stoffel…
Éva, 33 ans, décide de rester à Madrid pour le mois d’août, tandis que ses amis sont partis en vacances. Les jours s’écoulent dans une torpeur madrilène festive et joyeuse et sont autant d’opportunités de rencontres pour la jeune femme…
Comme une héroïne rohmérienne tout droit sorti du Rayon Vert, Eva, jeune madrilène de 33 ans, décide de passer l’été dans la capitale espagnole. Elle opte pour une légère migration et s’installe dans l’appartement d’un ami. Probablement plus spacieux que le sien, il a la particularité d’être traversant de toutes parts, constamment exposé à la lumière. C’est peut-être la clé de lecture d’un film qu’on ne peut s’empêcher de qualifier de lumineux. Dans cette douce errance citadine au cœur d’une Madrid festive, Eva vogue de rencontres en rencontres. Elle ne cherche jamais la lumière mais celle-ci la trouve toujours. Son corps est sans cesse inondé de lueurs – plus ou moins ardentes. Qu’elle fuie la lourde moiteur dans de vides musées, ou au bord d’une rivière, elle est rattrapée par la chaleur humaine. Elle noue des atomes crochus avec nombre d’inconnus, électrons libres de ce conte. D’été ; où le soleil de la Madrid fière, luit : c’est une Eva qui mousse de rayons. ⎥ Victor Courgeon
de Jonás TruebaGENRE : ComédieEspagne · 2020 · 2h09 · VOstf
Avec : Itsaso Arana, Vito Sanz, Isabelle Stoffel…
Éva, 33 ans, décide de rester à Madrid pour le mois d’août, tandis que ses amis sont partis en vacances. Les jours s’écoulent dans une torpeur madrilène festive et joyeuse et sont autant d’opportunités de rencontres pour la jeune femme…
Comme une héroïne rohmérienne tout droit sorti du Rayon Vert, Eva, jeune madrilène de 33 ans, décide de passer l’été dans la capitale espagnole. Elle opte pour une légère migration et s’installe dans l’appartement d’un ami. Probablement plus spacieux que le sien, il a la particularité d’être traversant de toutes parts, constamment exposé à la lumière. C’est peut-être la clé de lecture d’un film qu’on ne peut s’empêcher de qualifier de lumineux. Dans cette douce errance citadine au cœur d’une Madrid festive, Eva vogue de rencontres en rencontres. Elle ne cherche jamais la lumière mais celle-ci la trouve toujours. Son corps est sans cesse inondé de lueurs – plus ou moins ardentes. Qu’elle fuie la lourde moiteur dans de vides musées, ou au bord d’une rivière, elle est rattrapée par la chaleur humaine. Elle noue des atomes crochus avec nombre d’inconnus, électrons libres de ce conte. D’été ; où le soleil de la Madrid fière, luit : c’est une Eva qui mousse de rayons. ⎥ Victor Courgeon