UNE FEMME INDONÉSIENNE
de Kamila AndiniGENRE : DrameIndonésie · 2022 · 1h40 · Vostfr
Avec : Happy Salma, Laura Basuki, Rieke Diah Pitaloka
Quinze ans après avoir été séparée de son mari, Nana a refait sa vie auprès d’un homme riche qui la gâte autant qu’il la trompe. C’est pourtant sa rivale qui deviendra pour Nana l’alliée à laquelle elle confie ses secrets, passés et présents, au point d‘envisager un nouvel avenir…
En cette fin d’année 2022, Avatar : la voie de l’eau risque de faire de l’ombre à de nombreux films. Mais certains distributeurs ont habilement joué la carte de la contre-programmation absolue. C’est le cas de la société ARP sélection avec cette « Femme indonésienne » (titre original : Nana). Luxe, calme et volupté. On ajoutera raffinement, exotisme et féminité. Depuis In The Mood for Love, cela faisait longtemps qu’un titre n’avait pas à ce point pris le parti de la beauté plastique (avec cadrages au cordeau, lumières tamisées, costumes éblouissants, ralentis « suspendus ») au service de l’intimité et de la psychologie féminines. À dessein, la jeune cinéaste Kamila Andini (également productrice et scénariste !) nous dévoile de manière elliptique et suggestive le destin d’une femme digne. ⎥ François Aymé
de Kamila AndiniGENRE : DrameIndonésie · 2022 · 1h40 · Vostfr
Avec : Happy Salma, Laura Basuki, Rieke Diah Pitaloka
Quinze ans après avoir été séparée de son mari, Nana a refait sa vie auprès d’un homme riche qui la gâte autant qu’il la trompe. C’est pourtant sa rivale qui deviendra pour Nana l’alliée à laquelle elle confie ses secrets, passés et présents, au point d‘envisager un nouvel avenir…
En cette fin d’année 2022, Avatar : la voie de l’eau risque de faire de l’ombre à de nombreux films. Mais certains distributeurs ont habilement joué la carte de la contre-programmation absolue. C’est le cas de la société ARP sélection avec cette « Femme indonésienne » (titre original : Nana). Luxe, calme et volupté. On ajoutera raffinement, exotisme et féminité. Depuis In The Mood for Love, cela faisait longtemps qu’un titre n’avait pas à ce point pris le parti de la beauté plastique (avec cadrages au cordeau, lumières tamisées, costumes éblouissants, ralentis « suspendus ») au service de l’intimité et de la psychologie féminines. À dessein, la jeune cinéaste Kamila Andini (également productrice et scénariste !) nous dévoile de manière elliptique et suggestive le destin d’une femme digne. ⎥ François Aymé