PRIMAIRE
de Hélène AngelGENRE : Comédie dramatiqueFrance · 2016 · 1h45 · VF
Avec : Sara Forestier, Vincent Elbaz, Patrick d'Assumçao
Florence est une professeure des écoles dévouée à ses élèves. Quand elle rencontre le petit Sacha, un enfant en difficulté, elle va tout faire pour le sauver, quitte à délaisser sa vie de mère, de femme et même remettre en cause sa vocation. Florence va réaliser peu à peu qu’il n’y a pas d’âge pour apprendre...
NOTE D’INTENTION DE LA CINÉASTE : J’ai réalisé à quel point l’école marque nos vies, d’enfants et de parents, avec des étapes initiatiques. Le personnage de Florence doit passer une de ces étapes. Elle a beaucoup à apprendre aux autres, mais aussi des autres... elle l’a un peu oublié. Et puis on sait tous qu’un enseignant a quelque chose d’héroïque aujourd’hui. On lui demande de tout transmettre, savoir, valeurs, dans des conditions de plus en plus difficiles. Si c’est un héros, alors c’est un bon personnage pour un film! Florence se débrouille comme elle peut à l’intérieur du système, parce qu’elle croit en l’école de la République, laïque, gratuite et obligatoire. Je voulais une héroïne traversée de questions morales et secouée d’émotions, qui se prend les pieds dans le tapis et doit malgré tout assurer. Dans un décor clos qui raconte le monde. (...) Le personnage de Florence est énergique, c’est une locomotive, et elle aime clairement ses élèves. Ils le savent, et même s’ils sont chahuteurs et déconcentrés, on les sent motivés, comme elle. Les enfants sentent quand on les aime, et j’ai vu, quand j’étais en situation d’observatrice à l’école, combien le point de départ à leur envie d’apprendre, c’est souvent leur envie de faire plaisir à la « maîtresse », leur envie d’être aimé d’elle. C’est ce lien-là qui m’a frappée, et qui au fond est le cœur du film. Ensuite, évidemment, il y a des personnalités de professeurs plus ou moins marquantes, singulières, calmes ou énergiques, sévères ou excentriques... et dont la façon d’être nous a influencé. On se souvient tous d’un de nos professeurs, au primaire ou au collège, qui nous a révélé à nous-mêmes. Mais je dirais, peu importe la personnalité : c’est juste qu’on s’est senti regardé et compris, pour la première fois. ⎥ HÉLÈNE ANGEL
Mercredi 25 janvier : 19h
Jeudi 26 janvier :
Vendredi 27 janvier : 20h40
Samedi 28 janvier : 18h30
Dimanche 29 janvier : 14h20
Lundi 30 janvier :
Mardi 31 janvier : 18h30
Mercredi 1er février : 14h
Jeudi 2 février :
Vendredi 3 février :
Samedi 4 février :
Dimanche 5 février : 17h20
Lundi 6 février :
Mardi 7 février : 12h15
Mercredi 8 février :
Jeudi 9 février :
Vendredi 10 février :
Samedi 11 février :
Dimanche 12 février : 14h
Lundi 13 février :
Mardi 14 février : 12h15
de Hélène AngelGENRE : Comédie dramatiqueFrance · 2016 · 1h45 · VF
Avec : Sara Forestier, Vincent Elbaz, Patrick d'Assumçao
Florence est une professeure des écoles dévouée à ses élèves. Quand elle rencontre le petit Sacha, un enfant en difficulté, elle va tout faire pour le sauver, quitte à délaisser sa vie de mère, de femme et même remettre en cause sa vocation. Florence va réaliser peu à peu qu’il n’y a pas d’âge pour apprendre...
NOTE D’INTENTION DE LA CINÉASTE : J’ai réalisé à quel point l’école marque nos vies, d’enfants et de parents, avec des étapes initiatiques. Le personnage de Florence doit passer une de ces étapes. Elle a beaucoup à apprendre aux autres, mais aussi des autres... elle l’a un peu oublié. Et puis on sait tous qu’un enseignant a quelque chose d’héroïque aujourd’hui. On lui demande de tout transmettre, savoir, valeurs, dans des conditions de plus en plus difficiles. Si c’est un héros, alors c’est un bon personnage pour un film! Florence se débrouille comme elle peut à l’intérieur du système, parce qu’elle croit en l’école de la République, laïque, gratuite et obligatoire. Je voulais une héroïne traversée de questions morales et secouée d’émotions, qui se prend les pieds dans le tapis et doit malgré tout assurer. Dans un décor clos qui raconte le monde. (...) Le personnage de Florence est énergique, c’est une locomotive, et elle aime clairement ses élèves. Ils le savent, et même s’ils sont chahuteurs et déconcentrés, on les sent motivés, comme elle. Les enfants sentent quand on les aime, et j’ai vu, quand j’étais en situation d’observatrice à l’école, combien le point de départ à leur envie d’apprendre, c’est souvent leur envie de faire plaisir à la « maîtresse », leur envie d’être aimé d’elle. C’est ce lien-là qui m’a frappée, et qui au fond est le cœur du film. Ensuite, évidemment, il y a des personnalités de professeurs plus ou moins marquantes, singulières, calmes ou énergiques, sévères ou excentriques... et dont la façon d’être nous a influencé. On se souvient tous d’un de nos professeurs, au primaire ou au collège, qui nous a révélé à nous-mêmes. Mais je dirais, peu importe la personnalité : c’est juste qu’on s’est senti regardé et compris, pour la première fois. ⎥ HÉLÈNE ANGEL
Mercredi 25 janvier : 19h
Jeudi 26 janvier :
Vendredi 27 janvier : 20h40
Samedi 28 janvier : 18h30
Dimanche 29 janvier : 14h20
Lundi 30 janvier :
Mardi 31 janvier : 18h30
Mercredi 1er février : 14h
Jeudi 2 février :
Vendredi 3 février :
Samedi 4 février :
Dimanche 5 février : 17h20
Lundi 6 février :
Mardi 7 février : 12h15
Mercredi 8 février :
Jeudi 9 février :
Vendredi 10 février :
Samedi 11 février :
Dimanche 12 février : 14h
Lundi 13 février :
Mardi 14 février : 12h15