CAPTIVES
de Arnaud des PallièresGENRE : DrameFrance · 2024 · 1h50 · VF
Avec : Mélanie Thierry, Josiane Balasko, Marina Foïs
Paris, 1894. Qui est Fanni qui prétend s’être laissée enfermer volontairement à l’Hôpital de la Salpêtrière ? Cherchant sa mère parmi la multitude des femmes convaincues de « folie », Fanni découvre une réalité de l’asile toute autre que ce qu’elle imaginait, ainsi que l’amitié inattendue de compagnes d’infortune. Le dernier grand bal de la Salpêtrière se prépare. Politiques, artistes, mondains s’y presseront. Dernier espoir d’échapper au piège qui se referme…
Note d’intention du réalisateur : Nous voulions raconter le quotidien de ces femmes pauvres enfermées à la Salpêtrière, selon des critères qui relèveraient aujourd’hui de l’arbitraire le plus pur, à l’époque du dernier « bal des folles » qui eut lieu en 1894, après la mort de Charcot. Bal typique de cette fin du XIXe siècle à Paris, où l’on aimait s’encanailler dans les bouges à voyous, visiter en famille les indigènes des colonies parqués dans des « zoos humains ». Aller voir pour rire les fous derrière leurs grilles. Qu’une poignée de jeunes médecins progressistes décident d’y mettre fin et c’est le XXe siècle qui s’annonce. Le film se situe à ce moment de bascule entre deux époques. ⎥ Arnaud des Pallières
de Arnaud des PallièresGENRE : DrameFrance · 2024 · 1h50 · VF
Avec : Mélanie Thierry, Josiane Balasko, Marina Foïs
Paris, 1894. Qui est Fanni qui prétend s’être laissée enfermer volontairement à l’Hôpital de la Salpêtrière ? Cherchant sa mère parmi la multitude des femmes convaincues de « folie », Fanni découvre une réalité de l’asile toute autre que ce qu’elle imaginait, ainsi que l’amitié inattendue de compagnes d’infortune. Le dernier grand bal de la Salpêtrière se prépare. Politiques, artistes, mondains s’y presseront. Dernier espoir d’échapper au piège qui se referme…
Note d’intention du réalisateur : Nous voulions raconter le quotidien de ces femmes pauvres enfermées à la Salpêtrière, selon des critères qui relèveraient aujourd’hui de l’arbitraire le plus pur, à l’époque du dernier « bal des folles » qui eut lieu en 1894, après la mort de Charcot. Bal typique de cette fin du XIXe siècle à Paris, où l’on aimait s’encanailler dans les bouges à voyous, visiter en famille les indigènes des colonies parqués dans des « zoos humains ». Aller voir pour rire les fous derrière leurs grilles. Qu’une poignée de jeunes médecins progressistes décident d’y mettre fin et c’est le XXe siècle qui s’annonce. Le film se situe à ce moment de bascule entre deux époques. ⎥ Arnaud des Pallières