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La Machine à écrire et autres sources de tracas
de Nicolas PhilibertGENRE : DocumentaireFrance · 2024 · 1h30 · VF
Avec : Sans acteurs connus
Dernier volet du triptyque initié avec Sur l’Adamant puis Averroès & Rosa Parks, le film poursuit sa plongée au sein du pôle psychiatrique Paris centre. Ici, le cinéaste accompagne des soignants bricoleurs au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc…
« Dans cet ultime volet d’un triptyque documentaire au cœur du pôle psychiatrique Paris-Centre, le cinéaste de l’humain délaisse ce cadre institutionnel pour un environnement plus intimiste. Aux côtés de “l’orchestre”, petite équipe de soignants chargée d’opérer de menus travaux et réparations au domicile de patients, il se rend chez Muriel, Patrice, Ivan et Frédéric, que l’on avait rencontrés sur l’Adamant ou à Esquirol. Rapidement, l’auscultation des objets dysfonctionnels apparaît plutôt comme une occasion de cajoler les âmes esseulées. […] Être présent, à l’écoute et faire le lien, voilà une méthode également éprouvée par Nicolas Philibert derrière sa caméra. “Et moi, je n’ai pas droit à un chocolat ?”, l’entend-on glisser à Muriel, rappel discret et malicieux de sa présence empathique hors champ… qui participe, une fois de plus, à élaborer un film sensible et juste. » ⎥ Télérama
de Nicolas PhilibertGENRE : DocumentaireFrance · 2024 · 1h30 · VF
Avec : Sans acteurs connus
Dernier volet du triptyque initié avec Sur l’Adamant puis Averroès & Rosa Parks, le film poursuit sa plongée au sein du pôle psychiatrique Paris centre. Ici, le cinéaste accompagne des soignants bricoleurs au domicile de quelques patients soudain démunis face à un problème domestique, un appareil en panne, etc…
« Dans cet ultime volet d’un triptyque documentaire au cœur du pôle psychiatrique Paris-Centre, le cinéaste de l’humain délaisse ce cadre institutionnel pour un environnement plus intimiste. Aux côtés de “l’orchestre”, petite équipe de soignants chargée d’opérer de menus travaux et réparations au domicile de patients, il se rend chez Muriel, Patrice, Ivan et Frédéric, que l’on avait rencontrés sur l’Adamant ou à Esquirol. Rapidement, l’auscultation des objets dysfonctionnels apparaît plutôt comme une occasion de cajoler les âmes esseulées. […] Être présent, à l’écoute et faire le lien, voilà une méthode également éprouvée par Nicolas Philibert derrière sa caméra. “Et moi, je n’ai pas droit à un chocolat ?”, l’entend-on glisser à Muriel, rappel discret et malicieux de sa présence empathique hors champ… qui participe, une fois de plus, à élaborer un film sensible et juste. » ⎥ Télérama