LOURDES
de Thierry Demaizière, Alban TeurlaiGENRE : DocumentaireFrance · 2019 · 1h31 · VF
Avec : sans acteurs connus
Le rocher de la grotte de Lourdes est caressé par des dizaines de millions de personnes qui y ont laissé l’empreinte de leurs rêves, leurs attentes, leurs espoirs et leurs peines. A Lourdes convergent toutes les fragilités, toutes les pauvretés. Le sanctuaire est un refuge pour les pèlerins qui se mettent à nu, au propre – dans les piscines où ils se plongent dévêtus – comme au figuré – dans ce rapport direct, presque charnel à la Vierge.
« Les deux réalisateurs agnostiques ont choisi de suivre une dizaine de pèlerins […]. Certains sont hospitaliers (bénévoles) et ont pris une semaine de congé pour être là, d’autres, dans la peine, sont venus chercher du réconfort à défaut d’un miracle qu’ils n’osent pas demander, ne serait–ce que par égard pour l’étendue de la souffrance qu’ils perçoivent chez leurs coreligionnaires. Leurs gestes et leurs histoires se font écho par la grâce d’un montage qui entrecroise ces destins. On y voit d’étranges actes de foi dans la grotte (le petit garçon qui frotte sur les parois le doudou de son frère atteint d’un mal incurable) et dans les piscines, d’émouvantes scènes de prières. Le tournage s’est étalé sur un an et de longs mois de casting ont été nécessaires pour trouver toutes ces personnes, à la fois intéressantes et acceptant la présence de la caméra dans l’intimité de leur foi. S’en dégage un grand respect qui rend l’ensemble impressionnant d’autant que les auteurs savent capter la photogénie d’un lieu ou d’une procession, ce qui fait de ce documentaire un vrai film de cinéma. » ⎥ Positif
de Thierry Demaizière, Alban TeurlaiGENRE : DocumentaireFrance · 2019 · 1h31 · VF
Avec : sans acteurs connus
Le rocher de la grotte de Lourdes est caressé par des dizaines de millions de personnes qui y ont laissé l’empreinte de leurs rêves, leurs attentes, leurs espoirs et leurs peines. A Lourdes convergent toutes les fragilités, toutes les pauvretés. Le sanctuaire est un refuge pour les pèlerins qui se mettent à nu, au propre – dans les piscines où ils se plongent dévêtus – comme au figuré – dans ce rapport direct, presque charnel à la Vierge.
« Les deux réalisateurs agnostiques ont choisi de suivre une dizaine de pèlerins […]. Certains sont hospitaliers (bénévoles) et ont pris une semaine de congé pour être là, d’autres, dans la peine, sont venus chercher du réconfort à défaut d’un miracle qu’ils n’osent pas demander, ne serait–ce que par égard pour l’étendue de la souffrance qu’ils perçoivent chez leurs coreligionnaires. Leurs gestes et leurs histoires se font écho par la grâce d’un montage qui entrecroise ces destins. On y voit d’étranges actes de foi dans la grotte (le petit garçon qui frotte sur les parois le doudou de son frère atteint d’un mal incurable) et dans les piscines, d’émouvantes scènes de prières. Le tournage s’est étalé sur un an et de longs mois de casting ont été nécessaires pour trouver toutes ces personnes, à la fois intéressantes et acceptant la présence de la caméra dans l’intimité de leur foi. S’en dégage un grand respect qui rend l’ensemble impressionnant d’autant que les auteurs savent capter la photogénie d’un lieu ou d’une procession, ce qui fait de ce documentaire un vrai film de cinéma. » ⎥ Positif