THE SON
de Florian ZellerGENRE : DrameUSA, France, GB · 2023 · 2h03 · Vostfr
Avec : Hugh Jackman, Laura Dern, Vanessa Kirby
À dix-sept ans, Nicholas semble en pleine dérive, il n'est plus cet enfant lumineux qui souriait tout le temps. Que lui arrive-t-il ? Dépassée par la situation, sa mère accepte qu’il aille vivre chez son père, Peter. Remarié depuis peu et père d’un nouveau né, il va tenter de dépasser l’incompréhension, la colère et l’impuissance dans l’espoir de retrouver son fils.
Florian Zeller avait frappé un grand coup en 2020 avec sa pièce The Father qu’il adapta lui-même au cinéma avec le génial Christopher Hampton (Les Liaisons dangereuses, Carrington). Casting quatre étoiles (Anthony Hopkins, Olivia Colman), succès public et moisson d’Oscars (meilleur scénario, meilleure interprétation masculine), le français Florian Zeller nous revient avec un nouveau film américano-britannique intitulé… The Son. On retrouve la même exigence scénaristique, dans les situations, les dialogues et surtout la même intensité dramatique centrée sur les relations familiales. Avec encore une interprétation de très haute volée : Hugh Jackman tout simplement méconnaissable de sobriété et d’émotion, Laura Dern bouleversante en épouse délaissée et en mère impuissante et Anthony Hopkins encore une fois magistral de cynisme dans le rôle (court) du grand-père. Mais l’acteur qui porte le film, qui nous touche au plus profond, c’est le jeune Zen McGrath. Tout son visage, tout son corps portent les signes d’une tristesse infinie, d’un isolement qui semble irrémédiable, rompu par des éclairs de colère ou de joie. Zen McGrath a une façon d’appeler à l’aide qui, littéralement, vous déchire le cœur. Florian Zeller va à l’essentiel : comment aider les gens qu’on aime quand ils vont mal, comment être un bon père pour un premier fils… a fortiori pour un second, comment « refaire » sa vie sans abîmer les siens. Et s’il faut sacrifier quelque chose, c’est quoi ? Rien de neuf, diriez-vous ? C’est justement le propre des grands auteurs que de savoir reprendre les choses essentielles depuis le début, à la source. De se dire que le cinéma peut une fois de plus nous éclairer, nous toucher sur les moments où justement chacun risque de perdre pied. Le film est tellement bouleversant que nous avons renoncé à le proposer en avant-première surprise. Ne le manquez pas pour autant ! ⎥ François Aymé
Mercredi 22 mars : 18h10
Jeudi 23 mars : 14h
Vendredi 24 mars : 20h40
Samedi 25 mars : 16h10
Dimanche 26 mars : 20h30
Lundi 27 mars : 18h20
Mardi 28 mars :
Mercredi 29 mars :
Jeudi 30 mars :
Vendredi 31 mars :
Samedi 1er avril : 16h20
Dimanche 2 avril : 21h
Lundi 3 avril :
Mardi 4 avril :
de Florian ZellerGENRE : DrameUSA, France, GB · 2023 · 2h03 · Vostfr
Avec : Hugh Jackman, Laura Dern, Vanessa Kirby
À dix-sept ans, Nicholas semble en pleine dérive, il n'est plus cet enfant lumineux qui souriait tout le temps. Que lui arrive-t-il ? Dépassée par la situation, sa mère accepte qu’il aille vivre chez son père, Peter. Remarié depuis peu et père d’un nouveau né, il va tenter de dépasser l’incompréhension, la colère et l’impuissance dans l’espoir de retrouver son fils.
Florian Zeller avait frappé un grand coup en 2020 avec sa pièce The Father qu’il adapta lui-même au cinéma avec le génial Christopher Hampton (Les Liaisons dangereuses, Carrington). Casting quatre étoiles (Anthony Hopkins, Olivia Colman), succès public et moisson d’Oscars (meilleur scénario, meilleure interprétation masculine), le français Florian Zeller nous revient avec un nouveau film américano-britannique intitulé… The Son. On retrouve la même exigence scénaristique, dans les situations, les dialogues et surtout la même intensité dramatique centrée sur les relations familiales. Avec encore une interprétation de très haute volée : Hugh Jackman tout simplement méconnaissable de sobriété et d’émotion, Laura Dern bouleversante en épouse délaissée et en mère impuissante et Anthony Hopkins encore une fois magistral de cynisme dans le rôle (court) du grand-père. Mais l’acteur qui porte le film, qui nous touche au plus profond, c’est le jeune Zen McGrath. Tout son visage, tout son corps portent les signes d’une tristesse infinie, d’un isolement qui semble irrémédiable, rompu par des éclairs de colère ou de joie. Zen McGrath a une façon d’appeler à l’aide qui, littéralement, vous déchire le cœur. Florian Zeller va à l’essentiel : comment aider les gens qu’on aime quand ils vont mal, comment être un bon père pour un premier fils… a fortiori pour un second, comment « refaire » sa vie sans abîmer les siens. Et s’il faut sacrifier quelque chose, c’est quoi ? Rien de neuf, diriez-vous ? C’est justement le propre des grands auteurs que de savoir reprendre les choses essentielles depuis le début, à la source. De se dire que le cinéma peut une fois de plus nous éclairer, nous toucher sur les moments où justement chacun risque de perdre pied. Le film est tellement bouleversant que nous avons renoncé à le proposer en avant-première surprise. Ne le manquez pas pour autant ! ⎥ François Aymé
Mercredi 22 mars : 18h10
Jeudi 23 mars : 14h
Vendredi 24 mars : 20h40
Samedi 25 mars : 16h10
Dimanche 26 mars : 20h30
Lundi 27 mars : 18h20
Mardi 28 mars :
Mercredi 29 mars :
Jeudi 30 mars :
Vendredi 31 mars :
Samedi 1er avril : 16h20
Dimanche 2 avril : 21h
Lundi 3 avril :
Mardi 4 avril :