16h | MALEVIL
DE CHRISTIAN DE CHALONGE · FRANCE, 1980 · 1H59 · AVEC MICHEL SERRAULT, JACQUES DUTRONC…
Une campagne française est touchée par une explosion nucléaire. Trois communautés de survivants vont s’a ronter. Une bande désorganisée et sans ressources, un groupe qui s’est regroupé dans la cave d’un riche propriétaire et qui va tenter un projet de communauté agricole et un troisième, survivant dans un tunnel ferroviaire, qui s’est trouvé un chef, en la personne de Fulbert et a choisi la violence.
18h30 : COURS : SCIENCE-FICTION : LES FINS DU MONDE par Claude Aziza, administrateur du Jean Eustache.
L’INTERVENANT : Spécialiste–entre autres–de l’Antiquité, de son histoire et de ses systèmes de représentation, Claude Aziza est également un passionné de cinéma. Intervenant régulier de l’Uni- versité populaire d’Histoire, il anime également une fois par mois les séances de Monsieur Claude, et avec Michèle Hédin les journées de sensibilisation du Festival du Film d’Histoire, dont il est le secré- taire général. COURS PRÉCÉDENTS cf. page 88.
LE COURS : Est-il surprenant que le siècle de l’atome ait fourni aux écrivains et aux scénaristes de science-fiction la parfaite panoplie de fins de monde sur fond de catastrophe nucléaire, biolo- gique ou écologiste ? Le thème est, en gros, tou- jours le même mais les variantes sont infinies. L’Apocalypse est déjà là. Elle resurgit du fond des âges, elle ne s’endort jamais, quels que soient les noms dont on l’affuble : peur de l’an Mille, peste noire, grande famine, angoisse du troisième millé- naire. Aujourd’hui, selon les couleurs de l’actualité, la bête se nomme terrorisme, pollution ou virus. Mais, comme les catégories aristotéliciennes, les opéras de fins de monde ont toujours trois actes : une explosion dramatique, un combat pathétique, un destin tragique.
20h30 | NEW YORK 1997
DE JOHN CARPENTER · USA · 1981 · 1H49 · AVEC KURT RUSSELL, LEE VAN CLEEF, ERNEST BORGNINE…
Manhattan est devenu une immense prison à ciel ouvert. Victime d’un attentat, l’avion du président des États-Unis s’y écrase. Pour le récupérer, on envoie sur place un dangereux détenu, Snake Plisken. Celui-ci dispose de 24 heures, au terme desquelles il recouvrera sa liberté ou mourra sous l’action des capsules explosives implantées dans sa gorge.