19h : 4 courts-métrages
Chef de meute De Chloé Robichaud • Canada • 2012 • 12’30 • avec Ève Duranceau… Clara mène une vie bien tranquille et solitaire, au grand malheur de sa famille qui souhaiterait la voir s’épanouir au bras d’un homme… Suite au décès insolite de sa tante, Clara hérite de son animal de compagnie…
Juillet électrique
De Rémi Bigot • FRA • 2014 • 23’ • avec Nathan Bobet, Rémi Chaudière…
Dans la chaleur de l’été, deux adolescents s’ennuient et rêvent d’aventure. Victor emmène Thomas le long d’un pont abandonné. Qu’y a-t-il au bout ? Thomas va devoir affronter ses peurs et ses désirs.
Le Retour
De Yohann Kouam • FRA • 2013 • 22’ • avec Adama Procida, Yann Gael…
Cela fait un an que son grand frère est parti, et c’est avec impatience que Willy, 15 ans, attend son retour au quartier. Il croit tout savoir sur Théo, mais à peine ce dernier revenu, il découvre un secret le concernant…
La Princesse de Lamour Damour
De Arnaud Lalanne • FRA • 2013 • 9’30 • avec lætitia andrieu
Une conteuse, un groupe d’enfants et l’histoire d’une princesse qui ne s’en laisse pas conter en amour…
En présence du réalisateur Arnaud Lalanne et de l’actrice Lætitia Andrieu
21h : Polyester
Genre : culte et déjanté
De John Waters • USA • 1981 • 1h26 • VOSTF
Avec Divine et Tab Hunter…
Les aventures de Francine, brave chrétienne de la middle class américaine, victime d’une famille peu reluisante. Autour d’elle, un mari directeur de cinéma porno, des enfants débridés, une mère kleptomane et un séducteur sans scrupule tournent comme des mouches…
Fils de Russ Meyer et de Federico Fellini, John Waters, surnommé le pape du mauvais goût, est le poil à gratter d’un cinéma américain trop lisse, capable du meilleur comme du rire. Après Pink Flamingos et avant Hairspray, Polyester met le feu à l’idéologie conservatrice américaine en en retournant toutes les conventions pour faire du cercle familial le territoire idéal de la pure perversion : nymphomanie, fétichisme, adultère, obsession pornographique, alcoolisme, délinquance, violence grotesque. Et bien sûr, le corps hors normes de Divine, l’ébouriffante desperate housewife, héroïne du film, qui fut l’égérie de Waters et la première star travestie de l’histoire du cinéma américain.
Cette comédie loufoque utilise très habilement la technique de l’odorama : grâce à des petites cartes à cases numérotées, le spectateur pourra sentir les mêmes odeurs que les personnages tout au long du film. Une projection pour tous les sens !
Cette comédie loufoque utilise très habilement la technique de l’odorama : grâce à des petites cartes à cases numérotées, le spectateur pourra sentir les mêmes odeurs que les personnages tout au long du film. Une projection pour tous les sens!
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